mercredi, décembre 12, 2007

Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement.

Superbe chronique de Bernard Guetta. Rien à redire. Un véritable antidote.

L'antidote à la colère qui a suivi l'écoute de l'argumentation de cette auteur africaine, affirmant que la Lybie pouvait donner des leçons à la France (la france ?), parce que au moins elle, la Lybie, elle ne discrimine pas les Noirs, que la Démocratie et les Droits de l'Homme sont des concepts éthnocentrés, que Kadafi est un des futurs leaders d'une Afrique à présent presque totalement pacifiée (le Darfour serait-il un "détail de l'Histoire" ? A quand dans la bouche du Guide, un "Darfour crématoire" ?), que Khadafi, encore, est devenu un modèle pour les jeunes des banlieues dans une France condamnées, dit-elle, par l'ONU, pour son "racialisme" (sic), une France à la presse partiale, muselée par la honte de son passé, face à un Khadafi Grand Homme (re-sic), alors que les vrais bouchers (re-re-sic) et dictateurs se trouvent à la Maison-Blanche.

Ah, j'allais oublier... les infirmières bulgares étaient coupables. Il était normal de les juger et de les condamner (la lapidation aurait été de mise mais cette pratique culturelle aurait-elle été empêchée par le néo-colonialisme droit-de-l'hommiste d'un Occident décidément très à cheval sur sa domination morale ?).

Elle s'exprime dans Le Figaro d'aujourd'hui, et a vomi sa diatribe falacieuse sur Le Grand Débat de Europe 1.

Cette "dame" s'appelle Calixthe Beyala. C'est une femme, ex-de Drucker - dit-elle (lui aurait tendance à nier en bloc, et on le comprend). Elle est noire, africaine, écrivain et primée.
Rappelons que cela n'empêche en rien d'être dangereuse, courtisane et, pire que tout, abérante.


L'antidote à cette horreur cérébrale :



Gageons que cette "intellectuelle" accusera Guetta d'être un Blanc qui parle Blanc pour les Blancs. Et qu'elle continuera à se draper dans la persécution anti-africaine pour mieux s'offusquer et diffuser un tiers-mondisme empoisonné.




Drôle de monde que celui où le pot-pourri d'idées tient lieu d'avenir.



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